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| | _Dajan McCormick | Coolly Cool Boy* |  |
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Dajan McCormick
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| | Sujet: _Dajan McCormick | Coolly Cool Boy* Mar 5 Aoû - 16:36 | |
| 1. IDENTITE
• Nom : McCormick
• Prénoms : Dajan (ciel d’orage)
• Surnoms : Daj’ ; D. ; sa mère l’appelait Jany d’après ce qu’on lui a raconté
• Âge :17 ans
• Date de naissance : 17 Juillet 1990
• Lieu de naissance : Port Elisabeth
• Nationalité : Sud Africain
• Occupation : Dajan aime danser. Dajan aime chanter. Dajan sait danser et chanter et il s’adonne à ces deux passions avec acharnement.
Il fréquente les bancs de l’école uniquement pour que son père continue de lui céder son argent de poche à la fin de chaque mois.
Argent qu’il dilapide dans l’alcool ou l’herbe lors des soirées auxquels l’adolescent se rend… et où il peut s’adonner une fois de plus à sa grande passion : la danse.
2. OEUVRE BIOGRAPHIQUE
• Ascendance sociale :
¤ Ryhs McCormick : en grand patriarche qu’il est, Rhys est un homme qui apparait distant à son fils. D’aussi loin qu’il s’en souvienne, il en a toujours été ainsi. Sauf qu’à l’époque où sa mère était encore vivante, le gouffre qui les séparait n’était pas aussi grand.
Dajan a toujours eu l’impression que si on avait privé son père de ses enfants, il aurait pu y survivre. Mais que sa femme disparaisse, il ne l’a jamais accepté.
Depuis que son père a compris qu’il était homosexuel (il faut dire que le garçon ne s’en est jamais caché), son père n’est plus seulement absent, il est carrément inexistant. Lorsque, par hasard, ils se croisent, Rhys ne peut s’empêcher de lui faire des remarques idiote du style : tout est ma faute, j’aurai dû trouver une femme pour te donner une image maternelle, si j’l’avais fais, tu ne serais pas devenue ce que tu es ; qu’est-ce que j’ai mal fait ? ; tu penses que ça va te passer ? et autres phrases bateaux de ce style.
Quand Dajan a vu sa sœur se faire jeter hors du domicile familial, l’adolescent qui a tout de suite senti qu’il était lui aussi sur un siège éjectable a alors commencé à faire du chantage à son père. Depuis lors, il fait comme s’il essayait de changer et a même accepté de voir un psychiatre… psychiatre avec qui il entretient d’ailleurs une relation plus que professionnelle.
A ce jour, Dajan espère toujours qu’un jour, son père le regarde avec fierté.
¤ Eleanor McCormick : Dajan ne se souvient pas vraiment de cette femme qu’il n’a appelé ‘maman’ que trop peu de temps. On lui répète sans cesse qu’il a ses yeux, ses cheveux, quelques traits de personnalité qui la caractérisait.
Tout ce qui lui reste aujourd’hui, ce sont de vieilles photos, le chapelet qu’il a volé dans sa commode un mois après sa mort et les vieilles vidéos qu’ils regardaient ensemble.
Si le jeune homme veut à ce point devenir danseur, c’est avant tout en hommage à cette mère absente de sa vie.
¤ Seth McCormick : Depuis qu’ils sont gosses, Dajan n’a d’yeux que pour son grand frère, son héros. Son père n’étant qu’une ombre et sa mère ayant disparu, c’est lui qu’il a choisi pour être son model.
C’est pour l’imiter qu’il a commencé à boire très jeune…
Il est pour lui une très bonne épaule et, dès qu’il a un coup de cafard, Dajan vient frapper à sa porte (enfin techniquement, il ne frappe jamais et se contente d’entrer avant de se vautrer sur son lit dans l’attente que Seth lui demande ce qui lui arrive).
¤ Scarlet Rose : Scarlet a été la seule présence féminine de la maison durant de longues années. Quand Eleanor a disparu, c’est vers elle que Dajan s’est tourné pour avoir sa dose quotidienne de câlins et elle n’a jamais rechigné à lui en faire.
Il se confie souvent à elle, mais garde cependant certains détails pour lui (enfin pour Seth plus précisément). Lorsque leur père l’a mise à la porte sans prévenir, Dajan a eu l’impression qu’on lui enlevait encore une fois sa mère.
L’adolescent se dit souvent qu’il aurait dû suivre sa sœur, mais en même temps, le confort de la maison lui manquerait trop… Il en veut cependant à Seth de ne pas avoir été capable d’empêcher cet évènement et d’avoir laissé filer leur sœur.
• Anecdotes : C’est sous un ciel orageux -qui lui vaudra son prénom- que Dajan voit le jour. Ce n’est qu’une façon de parler puisque, lorsque le garçon vient au monde avec quelques semaines d’avance, la villa est plongée dans la pénombre et que le soleil a déserté l’horizon dans son explosion caractéristique de couleurs il y’a un moment déjà.
Eleanor, est seule chez elle, ses deux enfants et son mari se sont absentés pour la soirée. Se sentant fatiguée, elle a préféré rester dans ses draps à regarder la télévision. Première erreur.
Mais alors que la jeune femme pleure toute les larmes de son corps devant la comédie musicale West Side Story, la télévision s’éteint, tout comme les lumières tamisées de la pièce.
Plongée dans une obscurité relative inquiétante, Eleanor quitte son lit pour aller chercher de quoi s’éclairer et se diriger vers les compteurs. Deuxième erreur.
A peine a-t-elle fait quelques pas qu’un liquide chaud s’écoule entre ses cuisses. L’instant d’après, elle se plie en deux sous la douleur lancinante qui l’accable.
Elle a réussi à porter ses jumeaux presque jusqu’à leur terme et a mis au monde deux beaux bébés en pleine forme. Mais le petit dernier pointe son nez bien trop tôt… et quelque chose cloche.
Et elle ne peut prévenir personne. Les portables ne sont pas monnaie courante à cette époque et la coupure de courant l’empêcher d’utiliser le fixe.
Elle est seule, enceinte jusqu’au cou, souffrante et complètement impuissante.
Mais Eleanor ne se laisse pas abattre, elle essaye de garder la tête froide et de réfléchir à la manière dont elle doit s’y prend pour mettre au monde un bébé sans l’assistance d’un médecin…
Heureusement pour elle, elle n’aura pas à le faire. Alors qu’elle s’est redressée contre son lit, les jambes écartée et le visage rougis par l’effort, elle entend la porte s’ouvrir et la voix familière de Rhys, son époux, qui lui annonce qu’ils sont rentrés.
Après ça, tout va très vite. Eleanor est conduite à l’hôpital dans les plus bref délais, accompagnée par ses deux enfants qui sont paniqués par la large tâche de sang qui a imbibé la chemise de nuit de leur mère à demi-consciente seulement.
**
Dajan observe tour à tour son frère puis sa sœur, un mélange de colère et de tristesse dans le fond de ses grands yeux azurés. Du haut de ses quatre ans, le gosse se sent de nouveau de trop, délaissé, et il se concentre du mieux qu’il peut pour ne pas se mettre à pleurer.
Chaque fois qu’il le fait, Seth se moque de lui, Scarlet rigole, et son père lui dit que les petits garçons courageux ne pleurnichent pas.
Une fois encore, il se sent idiot, anormal. Non, il ne faut surtout pas qu’il pleure.
Il n’y a que maman qui le comprend vraiment de toute façon. Elle, elle ne se moque jamais de lui et sait le consoler. D’ailleurs, elle lui dit souvent que, s’il veut, il peut pleurer, qu’elle aussi parfois elle a du chagrin et qu’il ne faut pas avoir honte.
Quand il est avec maman, Dajan ne se sent pas différent. Dès qu’elle rentrera, il lui demandera de jouer avec lui et elle dira oui. Ils regarderont les films des gens qui dansent et qui chantent, et tout ira pour le mieux !
Laissant échapper une exclamation dédaigneuse, le gosse tourne le dos à ses aînés, fort de ces dernières pensées. Il se laisse tomber un peu plus loin et attrape l’une des poupées de sa sœur qui traîne sur le carrelage frai et agréable. Chantonnant un air ressemblant vaguement à l’une des chansons de la comédie musicale ‘Hair’, il caresse les cheveux brun de la Barbie d’un air fasciné.
La sonnerie du téléphone retenti soudain, emplissant la salle de séjour d’une mélodie assourdissante. Dajan tourne son regard enfantin vers papa, silhouette impassible dans son fauteuil, pendant que Scarlet et Seth se chamaillent pour il ne sait quelle raison.
Dajan observe son père, frôlant toujours la chevelure de la poupée d’un air distrait. Les sourcils de ce dernier se froncent, comme quand il parle avec maman de ‘choses de grandes personnes’. Alors qu’il s’apprête à ouvrir la bouche pour lui demander à qui il parle, son père se lève dans un geste mécanique, posant sur ses enfants un regard étrange.
-« Papa ? »
Seth et Scarlet tournent alors leurs têtes brunes en direction de ce dernier. Mais avant que l’un ou l’autre n’ait pu ajouter quelque chose, leur père se dirige d’un pas pressé vers la porte d’entrée, les laissant seuls.
Dajan se retourne vers ses frères et sœurs qui échangent un regard perplexe.
Il peut sentir que quelque chose se passe. Quelque chose de grave. Il n’arrive pas à deviner quoi mais bientôt, il sent des larmes brûlantes embuer ses yeux bleus.
**
-« Dajan, trésor, éloigne-toi de la télévision. C’est mauvais pour tes yeux » Le réprimande Margaret, sa baby-sitter
L’adolescente s’approche de lui et tente de le soulever, mais le garçon pousse alors une séries de gémissements plaintif en s’agitant comme un beau diable entre ses bras.
-« Du calme ! Dajan, reste tranquille s’il te plaît, je… Dajan, arrête ! »
Mais malgré ses efforts, la jeune femme n’arrive pas à faire décoller l’enfant du poste de télévision devant lequel il se tient depuis son arrivée. Se sentant complètement impuissante face à ce visage fantomatique aux yeux cernés, Margaret lâche prise.
-« Bien…comme tu voudras » Murmure-t-elle
Mais Dajan ne l’écoute déjà plus. Ses yeux azurés sont fixés sur l’écran coloré. Il discerne les images qui défilent sans vraiment les voir pour autant. Tout ce qui compte, c’est que l’écran reste allumé et que les gens à l’intérieur continuent de chanter et de danser comme si tout allait bien. Comme si maman allait revenir bientôt des courses pour jouer avec lui.
Depuis que son père s’est levé après avoir répondu au téléphone, Dajan a retenu ses larmes. Il les garde pour maman. Quand elle rentrera, il va pleurer et elle va le consoler. Parce qu’il a du chagrin et qu’il ne faut pas avoir honte, parce qu’elle, elle sait toujours quoi faire.
Les minutes s’écoulent sans qu’il s’en aperçoive et bientôt, le générique commence à défiler. C’est mal, il n’aime pas ça. Alors comme à chaque fois que cet événement tragique se produit, Dajan se met à crier.
Il n’appelle personne, ne prononce aucun mot, il ne pleure pas non plus. Il gémit, il grogne.
Margaret arrive en courant. Elle a l’air comme maman quand il tombe.
-« Quoi ? Qu’est-ce qui se passe Dajan ? »
Il n’ouvre pas la bouche. Il a l’impression de ne plus vraiment savoir comment faire des phrases. De toute façon, il ne parlera qu’à maman.
Alors il lève un doigt menu vers la télé et pousse un nouveau gémissement. Elle comprend.
Margaret s’approche, tripote les boutons et le bruit rigolo se met en route. Dajan attend sagement pour que le film puisse recommencer. C’est le préféré de maman. Celui qu’elle regardait quand il a pointé le bout de son nez. Elle le lui raconte à chaque fois qu’ils le regardent, avec sa jolie voix et son sourire.
-« Margaret ? »
Dajan sursaute et se tourne vers la porte. Son papa est rentré. Le gamin le détail de haut en bas d’un air critique. Il porte son costume tout noir. Lui aussi on l’a obligé à s’habiller en noir aujourd’hui, pourtant, il déteste ça et maman aussi.
-« Nos invités sont là, il faudrait qu’il nous rejoigne maintenant »
-« Bien M. McCormick »
Dajan fronce les sourcils. C’est maman qui s’occupe des invités d’habitude. Elle dit que papa sait pas trop y faire avec ce genre de choses. Pourquoi est-ce qu’il n’appelle pas maman pour qu’elle s’en occupe ? Pourquoi est-ce que tout le monde lui répète qu’elle ne va pas revenir ? C’est quoi être morte ? C'est quoi l'enterrement ? Pourquoi est-ce que papa a refusé qu'il aille dire au revoir à maman lui aussi ?
-« Tu as entendu ce qu’a dit ton papa mon trésor ? On va manger »
Dajan lève ses yeux vers Margaret et ne dit rien. Il n’a pas faim.
Il veut sa maman. Il veut pouvoir pleurer.
**
Dernière édition par Dajan McCormick le Mer 6 Aoû - 14:00, édité 5 fois | |
| | | | Dajan McCormick
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| | Sujet: Re: _Dajan McCormick | Coolly Cool Boy* Mar 5 Aoû - 16:37 | |
| [SUITE]
Dajan fixe son reflet dans le miroir avec défi. Le contour de son œil est marbré de noir à cause du coup qu’il a reçu quelques jours plus tôt et qu’il s’évertue à masquer du mieux qu’il peut à son père. Scarlet l’a maquillé plus tôt dans la journée, ça lui a plu mais il s’est bien gardé de le montrer. Mais il a tout fait disparaitre quand il a prit sa douche.
L’adolescent de quatorze ans qu’il est prend une grande inspiration, ses cheveux blonds et humides tombant devant son visage pâle. Il lève son bras droit devant lui, son pouce touche son majeur, et il tend l’autre bras gracieusement.
Dajan expire à fond et, après s’être promis que cette fois il y’arriverait, le jeune homme pointe sa jambe droite devant lui et, levant son autre pied, effectue deux tour sur lui-même en fixant un point droit devant lui.
Mais il se sent soudain perdre l’équilibre et repose sa jambe sur le sol en battant des bras un instant.
-« Merde ! » Rage-t-il en jetant à son reflet un regard accusateur
Dans un geste de colère, il donne un coup de pied dans son armoire à glace, les traits déformé par une colère sourde qui ne le quitte plus. Comment peut-il espéré monter sur scène s’il n’est même pas capable d’effectuer ce simple mouvement ?!
Qui voudrait d’un danseur incapable de faire une pirouette stupide !
Alors qu’il s’apprête à se repositionner pour refaire un essai, la porte de sa chambre s’ouvre à la volé, laissant apparaitre la silhouette imposante de son père.
-« Combien de fois devrais-je te demander de baisser ta musique ? » Hurle-t-il en s’approchant de la chaîne hi-fi du jeune homme
Il appui sur l’un des boutons et, aussitôt, un silence pesant tombe sur la chambre à coucher du garçon dont les poings sont serrés.
-« Tu penses que c’est en abrutissant l’esprit avec cette musique ringarde que tu vas progresser, hm ? J’ai vu ton bulletin et… »
-« Je me fiche de mes études ! »
-« Bien évidemment, monsieur se moque de tout ! Monsieur n’a pas besoin de tout ça ! Monsieur sera une grande vedette de cinéma ! » Se moque Rhys dans de grands gestes des bras « Pourquoi est-ce que tu t’évertues à gâcher toutes tes chances ? Est-ce que c’est pour me défier ? C’est pour me punir que tu agis comme ça, n’est-ce pas ? »
-« Non ! Je n’essaie pas de te punir, je ne fais rien de mal » Rétorque l’adolescent sur lé défensive
-« Tu crois que danser paieras ton loyer ? Redescends sur Terre mon garçon ! Danseur n’est pas un vrai métier, pas plus que chanteur de cabaret ! Tout ce que tu vas gagner à agir comme ça, c’est une place dans une ruelle glauque avec une seringue dans le bras mon pauvre ! »
-« Alors pour toi, c’est ce que je vais devenir hein ? Un drogué ! Tu as une bien belle image de ton fils ! » S’indigne Dajan, écœuré par les propos de son père
-« Tout ça ne te mènera nulle part ! Tu es la risée du quartier, Dajan ! Tu crois que je ne vois pas ce qui se passe ? Tu croyais que je n’allais pas remarquer qu’on t’avait molesté » L’interroge son père avec colère « Je ne suis pas aveugle contrairement à ce que vous pouvez penser tous les trois ! Je sais ce qui se passe dans vos vies. Je sais aussi que le fils des voisins a collé des affiches de danseuses étoiles sur lesquelles il avait ajouté ta photo ! Et les Peterson m’ont même demandés sur le ton de conversation si tu n’étais pas gay ! »
-« Et qu’est-ce que tu leur a répondu ? »
-« Je leur ai répondu que non, évidemment ! Qu’est-ce que tu voulais que je dise d’autre ? »
Dajan se fige, submergé par la colère et la peine. Ce qu’il voulait qu’il dise d’autre ? Il avait une multitude de réponses à cette question et aucune ne démentait la rumeur…
-« …rien. Et tu sais quoi, je n’ai plus rien à te dire non plus, Rhys » Lâche simplement l’adolescent avant de bousculer son père sans ménagement pour quitter sa chambre d’un pas pressé
Son cœur cogne douloureusement dans sa poitrine, il a l’impression d’étouffer. Il est tellement énervé qu’il pourrait pleurer.
Mais il ne le fera pas.
Ce sont les petites tapettes qui pleurent, les faibles, les pédés… alors il devrait pleurer en fin de compte, non ?
**
• Projets : L’adolescent rêve de voir son nom en haut de l’affiche. Il se voit déjà à Broadway, sur les planches. Il sait qu’il quittera un jour son Afrique natale pour se rendre aux Etats-Unis et réaliser son rêve de faire partie d’une comédie musicale.
3. ESQUISSE PSYCHOLOGIQUE
» PORTRAIT & PARTICULARITES
• Qualités : Dajan est un garçon affectueux, toujours prêt à vous câliner et vous remonter le moral en cas de soucis. Il est très social et est de toutes les fêtes. Si vos soirées manquent cruelle de peps, que vos invités s’en vont en vous jetant un regard dédaigneux : c’est à lui qu’il faut faire appel.
Il est l’homme de la situation et ne refusera jamais une occasion de s’amuser et de bouger son corps d’Apollon.
Toujours survolté, il a hérité du côté intrépide -parfois qualifié d’insouciant- de sa mère et en est très fier. Souvent comparé à une pile électrique, l’adolescent est un vrai catalyseur pour les gens qui l’entour et il sait comment motiver les troupes.
Dajan sait pourtant faire preuve de sérieux et de calme lorsque les circonstances l’imposent et, en cas de coup dur, on peut toujours compter sur lui, aussi bien sur le plan affectif que financier. Le jeune homme n’est en effet pas avare et sait se montrer très généreux envers ceux qui le méritent… probablement parce que l’argent qu’il dépense n’est pas à lui. Mais c’est une autre histoire.
Son homosexualité, qu’il affiche sans honte, lui a permis d’avoir confiance en lui et de s’endurcir. Il est bien placé pour savoir que le monde est cruel avec les gens différents, ceux qui ne sont pas dans les normes.
Mais Dajan fait preuve de philosophie et il se contente de savourer chaque instant de sa si précieuse petite vie avec autant de sérénité que possible.
• Défauts : Sous ses airs d’angelot, Dajan peut se révéler être un vrai petit démon…
Colérique et capricieux, il veut toujours ce qu’il n’a pas et fera tout pour l’obtenir, peu importe les risques encourus. Il se jette en effet dans les ennuis tête baissés et semble en redemander.
C’est cette témérité qui l’a poussé très jeunes à afficher son homosexualité, ce qui lui a valut de belles raclées.
L’adolescent en fait parfois un peu trop et son exubérance lui attire parfois les foudres des gens qui l’entour. Mais Dajan s’en moque. A dire vrai… Dajan se moque de tout et de tout le monde. Il n’a de respect que pour lui et les autres personnes qui, comme lui s’affirmes.
Il n’hésitera pas à se moquer ouvertement des gens qui ne s’acceptent pas, se plaignent de leur vie, suivent le troupeau, même s’il est bien placé pour connaître l’impact des mots sur les gens…
Dajan est un vantard invétéré mais, selon lui, c’est une qualité dans le métier qu’il veut exercer plus tard. IL s’est imposé une discipline de faire et, on lui reproche parfois de ne penser qu’à la danse.
• Manies : Le jeune homme est tout bonnement incapable de rester en place et immobile plus de vingt secondes. Il faut toujours qu’il gigote. Lorsqu’il est assis, il remue ses jambes et fait tout trembler, ce qui n’est pratique ni lorsqu’il mange, ni lorsqu’il se penche sur un devoir. Quand il n’agite pas ses jambes, il bat la mesure sur tout et n’importe quoi, ce qui a tendance à en agacer plus d’un.
Et bien sûr, c’est sans compter sur sa manie de toujours marmonner des paroles de chansons dans lesquelles il glisse subtilement quelques insultes à votre adresse.
Quand il est nerveux, le jeune homme se gratte la nuque et ses lèvres s’étire généralement en un large sourire pour pub de dentifrice.
Il tripote assez souvent le chapelet qui appartenait à sa ère et qu’il a volé dans son tiroir il y’a des années.
• Indispensables : Dajan a tout les éléments nécessaire à sa survie en poche. Il a de quoi manger et boire, un lit bien douillet dans lequel il peut se prélasser tant qu’il veut (à condition de ne pas avoir classe…et encore) et des amis pour ne pas dépérir. Mais pour le jeune homme, ce n’est pas suffisant à son épanouissement. Il a avant tout besoin de musique pour subsister.
L’adolescent a toujours son Ipod sur lui, sa chaîne hi-fi est allumée en permanence dans sa chambre et, lorsqu’il se déplace dans la maison, il met les autres en route pour ne pas en perdre une miette.
Dajan ne peut pas non plus quitter son domicile sans le chapelet de sa mère qu’il enroule autour de son poignet. L’adolescent l’a égaré une fois et a obligé son frère et sa sœur à retourner la maison avec lui pour le retrouver. Après une crise d’angoisse et des larmes, Scarlet a finalement retrouvé son bien dans la poche de son jean où il l’avait oublié…
• Credo : Always look on the bright side of life
» SI J'ETAIS ...
• Une couleur : Vert Anis
• Un parfum : Le doux parfum de l’herbe (on ne parle pas de gazon ici…)
• Un goût : Du miel
• Un accessoire : c’est avilissant ! Je refuse d’être un accessoire
• Une matière : L’argile, uniquement si je suis modelé entre des mains expertes…
• Un roman : L’empire des Anges – Bernard Werber
• Une chanson : I’m Dying – Orange Blossom
• Une personnalité : Ronald Weasley, et ne cherchez pas à comprendre pourquoi, c’est entre lui et moi…
• Un animal : Une panthère
• Un sentiment : L’amour
4. OUT OF AFRICA
• Connaissance de la malédiction : Dajan est au courant qu’une malédiction a été lancée sur les anciennes familles de la région. Il en a vaguement entendu parler sans vraiment se souvenir de qui lui en a fait le récit (probablement Seth, pour lui faire peur). La famille de sa mère vivant à Port Elisabeth depuis plusieurs générations devrait donc être maudite, comme la majeure partie de celle de son père d’ailleurs… Il n’en sait pas vraiment plus, ne sait pas ce qui arrive aux membres de ces familles et, pour être tout à fait honnête, c’est le cadet de ses soucis !
• Position par rapport à celle-ci : Eleanor est issue de l’une des familles coloniales qui se sont installées à Port Elizabeth il y’a plusieurs décennies de cela. Son père, Rhys, n’est venu s’y installer qu’une fois ses vingt bougies soufflées, pour aller travailler chez son oncle Jerry McCormick, un riche propriétaire agraire descendant lui aussi des colons.
Il y’a quelques temps, alors que Dajan a souhaité se rendre chez Jerry, Rhys l’en a empêché, prétextant que son grand-oncle était malade. Mais l’adolescent n’en fait qu’à sa tête et il se rend tout de même sur place. Une fois là, il découvre un homme pâle aux yeux cernés, pris de tremblements incontrôlables et qui tient des propos incohérents à propos de la malédiction qui plane selon lui sur leur famille. Il met Dajan en garde et lui baragouine une histoire abracadabrante sur des animaux qui meurent à son approche, mais l’adolescent n’en croit pas un mot. Il s’échappe de chez son oncle en jurant de revenir le voir, mais une semaine plus tard, il apprend que l’homme est mort dans des circonstances étranges.
Lorsque Dajan évoque sa conversation avec l’homme devant son père, ce dernier s’emporte et lui interdis d’évoquer ce sujet à l’avenir. Jerry était simplement fou et il s’est suicidé. Voilà l’explication de son père.
Rien à voir avec une quelconque malédiction… Alors pourquoi avait-il décelé de la peur dans le regard brun de son père ? Pourquoi transpirait-il en lui criant qu’il était fou de croire à ces histoire ? Pourquoi avoir refusé qu’il voit l’homme en premier lieu… ?
• Qu'en pensez-vous ? : « Je pense que je m’en moque comme de mon premier caleçon. S’il y’a une malédiction : et bien tant pis, je suis foutu. S’il n’y en a pas : tant mieux ! …je peux retourner m’entraîner maintenant ? »
5. AUTRES
• Avatar : Mitch Hewer <3
• Pseudo : Chachoune
• Sexe : Jamais avant de manger
• Comment avez-vous connu le forum ? : C’est ma coupine Saucisse qui me l’a montré 
• Commentaires :Trop hâte de RPer avec mes louloutes !!
Dernière édition par Dajan McCormick le Mer 6 Aoû - 22:52, édité 4 fois | |
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