S. WENDELL __ Delayed bomb

ICONS TO WONDER-BEAUTY @ LJ

1. IDENTITE

Nom :

WENDELL.

Prénoms :

Seal Elliot.

Surnoms :

Mis à part les très courants Sea et Dell, relatif à son nom de famille, certaines personnes ne cessent de lui trouver de nouveaux pseudonymes. Notamment Calleigh qui s'attacher à la surnommer Docteur Who, Wendy, Sea-Sea ou encore Merry, allez savoir pourquoi. On l'appelle également docteur Wendell, logique.

Âge :

La jeune femme traîne derrière elle vingt-quatre belles et longues années.

Date de naissance :

Un certain quatorze avril, lors d'une soirée plutôt pluvieuse et froide.

Lieu de naissance :

St. Patrick Hospital, au centre de la capitale britannique ; Londres.

Nationalité :

Anglaise d'origine, elle a cependant la nationalité sud-africaine depuis sa majorité.

Occupation :

Aussi étonnant qu'improbable, Seal exerce aujourd'hui le métier très épanouissant de vétérinaire, dans la périphérie de Port Elizabeth. A vrai dire, personne n'aurait un jour pensé que cette jeune femme issue de l'aristocratie britannique puisse songer à soigner des bêtes. Son emploi a d'autant plus de mérites étant donné l'endroit où elle travaille. Ici, pas de chats et chiens malades. Mais plutôt des gnous, zèbres et autres gentilles bêtes sauvages de la savane africaine. Et évidemment, ce n'est pas tous les jours facile.

2. ESQUISSE PSYCHOLOGIQUE

» PORTRAIT & PARTICULARITES

Qualités :

A vrai dire, il y a de nombreuses attitudes et manières d’agir que l’on pourrait attester comme qualités chez Seal. Sa plus grande force réside en son naturel à tout épreuve. Même si certains pourraient trouver cela étonnant, la jeune Wendell a toujours été fidèle à elle-même, et ce peut importe les situations. En aucun cas elle ne mettrait ses idéaux de côté pour se ranger du côté de l’opinion majeure ou pour ravir une connaissance. Loin de là, Seal préfère affirmer ce qu’elle pense, et clamer haut et fort son opinion, même s’il fallait se mettre l’Afrique entière à dos. En effet, la jeune femme est d’un naturel plutôt franc, ce qui n’implique cependant pas qu’elle blesse les gens à la moindre occasion. Non, Seal dit ce qu’elle pense, sans tourner autour du pot, sans mettre de gants. C’est ainsi, et pas autrement, et il faut croire que son entourage s’est accommodé à cette manière de parler. Si quelque fois elle peut se trouver être légèrement à côté de la plaque, manquement cruellement de tact ou oubliant que bêtes et Hommes ne sont pas les mêmes, elle n’en reste pas moins polie et respectueuse. Du moins, à la limite de la décence. Car il vous faut également savoir que cette franchise permanente incite la jeune femme à dire non seulement ce qu’elle pense, mais à utiliser les termes exactes. Ne vous attendez à aucune métaphore, elle utilisera naturellement des mots tels « émasculer », « enculer » ou « grosse merde ». Très peu distingué, mais ça a le mérite d’être clair. D’autres qualités sont également à soulignées telles que son oreille attentive, ses bons conseils –sauf en amour-, ainsi que sa capacité à réconforter les gens. De plus, Seal est une jeune femme extrêmement attentive aux autres et au monde, qui se soucie de leurs problèmes, de l’écosystème, de la pollution, etc. Ecolo dans l’âme, elle mène un combat utopiste contre les problèmes qui touchent chacun, même si les résultats sont peu concluants jusqu’ici. Hormis cela, la jeune Wendell est également d’une grande loyauté ; fidèle en amour comme en amitié, ses amis peuvent compter sur elle peut importe la situation, car qu’il vente ou qu’il neige, Seal est toujours présente. De plus, c’est assidûment qu’elle exerce son métier, avec énormément d’entrain et de passion. Mais il faut dire que la plupart de ses actes ne se font pas sans raison, et sont donc toujours emprunts de passion, d’attachement. S’il fallait encore rajouter quelque chose, Seal est une jeune personne quelque peu farfelue, excentrique, éclectique, drôle, attachante et puis, avec un regard pareil, on ne peut rien lui refuser. Absoluement rien du tout !

Défauts :

Vous l’aurez compris, Seal est bien loin d’être un ange et d’être un personnage facile à vivre. Il y a premièrement son énorme, voire immense, problème existentiel ; le ménage. Le ménage en lui même ne la dérange pas outre mesure – elle y voit même une certaine jouissance, après chacun son truc – mais c’est l’idée de devoir le faire. Car qui dit devoir nettoyer, implique qu’il y a forcément de la crasse. Et en tant que bonne maniaque qui se respecte, la jeune Wendell a une sainte horreur des moutons, de la poussière et autres moisissures sur son beau tableau de vie. De plus, vivre avec Calleigh n’arrange en rien les choses puisque la majorité du bordel résulte des activités de cette dernière. Entre les sous-vêtements trouvés un peu partout dans les pièces et les jeux vidéos étalés dans tout le salon, il n’est pas rare que Seal passe plusieurs heures à ranger tout le foutoir. En outre, Seal est également une jeune femme dotée d’une impatience légendaire. Les embouteillages sont pour elle un vrai calvaire, et ce contrôle intempestif du temps la mène à devenir un vrai tyran pour les rendez-vous. Non seulement elle n’est jamais en retard, mais elle ne tolère en aucun cas les absences injustifiées. Evitez de la mettre en rogne, vous risquez d’y perdre un bras ou une jambe. De plus, il y a une chose bien plus qu’énervante chez la jeune femme ; elle trouve une fascination plus intense à observer les animaux que les êtres humains. Elle passe sa journée en compagnie de bêtes africaines, et a parfois du mal à revenir sur terre, à songer qu’il y a ses semblables tout autour. Par ailleurs, elle ne peut s’empêcher de jurer à chaque instant. C’est évidemment très classe, surtout dans les discussions importantes, ce qui lui attire parfois des ennuis. Mais bon, on ne se refait pas, n'est-ce pas ?

Manies :

Bien qu’elle refuse catégoriquement de l’admettre, Seal est ce que l’on pourrait appeler une personne maniérée. Si certes elle aime les changements et les bonnes surprises, on ne peut cependant pas nier que la jeune femme soit ancrée dans certaines habitudes, et il est souvent possible de constater de nombreux gestes et attitudes qui reviennent régulièrement dans sa manière de se comporter. Premièrement, elle a cette étrange manie de combler le manque de parole – aussi rare soit-il avec elle – par un flot incroyable d’injures plus farfelues et longues les unes que les autres. Du « bordel de putain de bordel de merde fais chier » classique au « saloperie de tête d’ampoule calcinée » très exotique, en passant évidemment par le « vieille antilope émasculée » encore plus classe. Vous l’aurez compris, Seal ne manque pas une occasion de jurer, et encore moins d’inventer des expressions à rallonge. En parlant d’expressions, la jeune femme a également tendance à les employer à tord et à travers, dans un contexte souvent inadéquat, mais aussi complètement fausses. A vrai dire, la jeune Wendell se souvient de quelques parties des expressions qu’elle emploie, assez pour les utiliser mais pas assez pour les prononcer correctement. Ainsi, dans des conversations courantes, nous aurons « la bise ne fait pas le moine », « pierre qui coule n’amasse pas plouf » ou encore « c’est en bûchant qu’on devient un bûcheron ». En outre, Seal est aussi quelqu’un d’extrêmement tactile. Elle ne sait pas pourquoi, mais elle a un besoin vital de toucher son interlocuteur, notamment au bras quand la conversation est sérieuse, sur l’épaule quand le naturel stupide reprend le dessus ou encore sur le genoux dans une discussion plus drôle. De même, elle pointera toujours son index en avant en s’adressant à quelqu’un. La plupart des personnes fixeront alors son doigt, et c’est là qu’un bon vieux dicton vient à point « lorsque le sage pointe la lune du doigt, l’idiot regarde le doigt ». De plus, la jeune femme adore dire « ouais », « absolument », « je t’assure » ou encore « Je sais ce que je dis ». Il persiste chez elle encore d’autres manies comme passer quatre à cinq fois l’aspirateur par semaine, dépoussiérer les meubles quotidiennement, laver et vider le frigo en fin de semaine, etc. Vous l’aurez compris, Seal est ce que l’on pourrait appeler une maniaque compulsive. Chose qui se trouve être très difficile à gérer surtout lorsque l’on vit avec Calleigh, reine incontestée du foutoir en tout genre.

Indispensables :

Il y a des choses dont on ne pourrait se passer pour rien au monde. Certaines sont matérielles et parfois dérisoires. D’autres sont bel et bien réelles et plus qu’importantes. Pour Seal, il existe deux catégories d’indispensables ; ce dont on ne pourrait pas se passer et ce dont on ne pourrait absolument pas se passer. Il y a premièrement les choses dont Seal ne pourrait se passer, ces petites choses anodines qui réjouissent son quotidien. Parmi celles-ci, on compte ces horribles crackers, ces petits biscuits salés au goût inhumain que la jeune femme trimballe partout avec elle, et qu’elle avale à longueur de journée. Même les animaux refusent d’y goûter, c’est peu dire. Ensuite, il y a ce bon vieux rock qui tourne en permanence dans la résidence de Seal et Calleigh. Des succès américains en passant aux autres continents, tant que c’est du rock, il n’y a pas de soucis à se faire. En outre, Seal ne peut non plus se passer de caféine (pas cocaïne), de son calepin et de son espèce de chapeau à cheval entre le kit du parfait adepte des safaris et Chuck Norris. Puis, il y a ces indispensables plus précieux dont Seal ne pourrait jamais, au grand jamais, se passer. Ceux qui se forgent une place évidente dans la vie, et qui semblent dès lors plus qu’habituels. Inconsciemment, la jeune femme a réalisé dans sa tête une sorte de podium de priorités dans la vie. En troisième place, c’est le fait de pouvoir continuer à exercer son métier. Etonnant ? Pas du tout. Seal a toujours été passionnée par ce qu’elle faisait, et est absolument épanouie malgré les préjugés sur le poste qu’elle occupe. Pour rien au monde elle ne l’échangerait, pas même pour une question de salaire. En seconde position, c’est la Liberté. La Liberté avec un grand L, sentiment que rien au monde ne pourrait lui retirer. C’est en quelque sorte l’une de ses raisons de vivre ; savoir qu’elle peut faire ce que bon lui semble, s’exprimer, se déplacer. Ensuite, vient la première place ; les relations. Qu’il s’agisse de la famille ou des amis, Seal ne pourrait imaginer une seconde vivre sans eux. Mais il y en a surtout deux qui sont en tête dans son cœur ; Calleigh et Noah. Même s’ils sont différents et qu’elle n’a pas les mêmes rapports avec l’un et l’autre, ils sont tous deux ce qu’elle a de plus cher au monde.

Credo :

« CARPE DIEM », le célèbre ‘cueille le jour’ d’Horace. La façon dont Seal voit la vie se résume simplement en deux mots, deux mots qui signifient beaucoup. Selon elle, les gens quels qu’ils soient passent trop de temps à se soucier des détails sans intérêts et du moindre changement qui pourrait déséquilibrer leur quotidien. Le Carpe Diem résume donc à merveille ce qui lui semble le plus important dans la vivre ; surmonter les épreuves, n’en retirer que le meilleur et grandir spirituellement. Si la jeune femme a largement tendance à divaguer sur des sujets philosophiques bénins ou à ressasser un flot de conneries inimaginable, elle est on ne peut plus sérieuse sur la façon de diriger sa vie. Elle sait qu’elle aussi collectionne quelques erreurs d’ordre majeur, mais il faut parfois arriver à faire une croix sur le passé et l’avenir pour profiter un maximum de l’instant présent. Et comme dirait Nancye Sims ; ne laisse pas la vie filer entre tes doigts en songeant au passé ou en rêvant à l’avenir. Vis ta vie jour après jour, et tu vivras ainsi intensément chaque jour de ta vie. La vie n’est pas une course, mais un voyage dont il faut savoir goûter chaque étape. Après, elle a d’autres devises telles que « Regarde toujours dans la direction du soleil levant et tu ne verras jamais l'ombre derrière toi » ou encore « Tout problème a une solution. Et s’il n’y a pas de solutions, c’est qu’il n’y a pas de problèmes ! ». Tellement dérisoire, et pourtant tellement vrai. Non ?

» SI J'ETAIS ...

Une couleur :

Différents nuancés de marron.

Un parfum :

Les odeurs provenant des cuisines.

Un goût :

En terme général, les goûts salés.

Un accessoire :

Une machine à écrire.

Un roman :

De l'autre côté du regard, K. Bugul.

Une chanson :

Africa Unite, de Bob Marley.

Une personnalité :

La femme de Robert Redford.

Un animal :

Un surikate, probablement.

Un sentiment :

Simplement, la confiance.

Un végétal :

Une fleur de cerisier japonnais.

3. AUTRES

- Plus jeune, elle ne disait pas « avoir la chaire de poule », mais « avoir la chaire d’ampoule ».
- Depuis toujours, elle a une aversion profonde de la cannelle, dont le goût lui est insupportable.
- Elle avoue d’ailleurs avoir le même dégoût pour les asperges, ainsi que les choux de Bruxelles.
- Autrefois, elle rêvait de devenir danseuse dans une troupe, principalement pour les ballets classiques.
- Selon elle, rien ne vaut un bon vieux Rock américain, en comparaison avec les nouveaux styles actuels.
- Très sincèrement, elle trouve qu’un homme portant un pantalon noir doit éviter les chaussettes blanches.
- De plus, les chaussettes au lit, c’est un véritable tue-l’amour. Mais cela n’engage qu’elle.
- Etant enfant, elle était – comme beaucoup d’autres – apeurée par le Croquemitaine.
- Chaque année, elle reçoit un tas de carte de vœux de personnes dont elle ne se souvient pas.
- Aussi étrange qu’improbable, Seal n’est finalement pas si mauvaise chanteuse aux karaokés.
- Elle ne dit jamais « préoccuper », mais plutôt « tarabuster ». C’est une question d’habitude.
- Quand elle déprime, elle a un peu tendance à se reposer sur une bouteille de Vodka et des cigarettes.
- C'est une as au poker, rien à redire. Elle a plumé tout Port Elizabeth, et reste imbattable.
- Pourtant, c'est une nullité au Trivial Poursuit. Evidemment, elle répond toujours Chuck Norris.

Avatar :

Kristen Bell.

Pseudo :

Justine. Ca vous impressionne, n’est-ce pas ?

Sexe :

Je suis asexuée. Vive les progrès de la médecine :p

Comment avez-vous connu le forum ? :

JOKER* !

Commentaires :

Quel beau travail ! *BAF* Bein, quoi ?

4. OUT OF AFRICA

Connaissance de la malédiction :

Le néant, et c’est peu dire. Comment expliquer ? Seal a toujours été une jeune personne fantasque et farfelue, persuadée qu’autre chose, autre part, existait. Bien évidemment, elle n’a jamais réussi à prouvé scientifiquement qu’E.T. reviendrait un jour. Cependant, elle a gardé cette ancienne fascination pour les histoires abracadabrantes, ce qui pourrait expliquer qu’au fond d’elle, elle croie à cette malédiction. Puisqu’elle désire y croire sans forcément l’approcher de tout près, cela ne veut pas pour autant signifier qu’elle en connaisse quelque chose. Si elle sait que d’étranges événements se produisent de temps à autres et que certaines personnalités de la ville ont déjà perdu la vie ces derniers jours, elle n’en sait rien de plus. Les symptômes, les raison. Rien du tout, niet, nada. Après, elle ne peut nier avoir sa petite idée. Mais ça, elle ne vous le dira jamais.

Position par rapport à celle-ci :

Il y a les choses que Seal sait, il y a les choses que Seal ignore. Dans la famille, il n’a jamais été question de garder secret les affaires de leurs aïeuls. C’est pourquoi, depuis sa plus tendre enfance, la jeune Wendell sait pertinemment qu’autrefois, ses arrières-arrières-grands-parents – et on en passe – étaient de véritables colons britanniques. Les Wendell du dix-huitième siècle ont été plus qu’impliqués dans les colonisations en Afrique du Sud, ce qui semble concrétiser la fierté de la famille. Il faut s’en douter, c’est l’une des raisons importantes de discussions peu sympathiques dans la famille. Ayant toujours vécu avec des idéaux presque utopistes en tête, il était simplement impossible pour Seal de songer un instant à capituler face à la masse familiale et à affirmer qu’elle était d’accord avec ses aïeuls. En outre, la jeune femme n’a jamais réellement su qui était, ou n’était pas, touché par la malédiction. C’est sans doute l’une des raisons qui la poussent à ne pas s’affairer davantage dans ces histoires de prédictions d’anciens marabouts. Cependant, comme précisé précédemment, la famille Wendell a été plus qu’impliquée dans les affaires de colonisations en Afrique australe du temps des peuplades noires. C’est ainsi que tôt ou tard, la jeune femme est susceptible de découvrir que, la malédiction touchant les familles de colonisateurs et leurs futures générations, elle aussi fait aujourd’hui partie de ces habitants que l’on pourrait appelé « maudits ».

Qu'en pensez-vous ? :

« Si j’y crois, ce que j’en pense ? Comment vous dire. Premièrement, je n’ai aucune envie de savoir si vous travaillez pour une revue ou un autre assemblage de ragots sans intérêts. Ensuite, ce que j’en pense ne regarde que moi, et moi seule. Mais bon, si vous insistez. Même si je dois probablement y croire, ce sont des histoires qui m’intéressent peu, voire pas du tout. C’est évidemment malheureux de voir des gens mourir si jeunes, mais faut-il toujours relier cela à une malédiction potentielle ? Tant que cette saloperie évite de me venir me coller aux baskets, je m’en fiche. Après, si elle n’est pas ceinture noire de karaté, elle va voir qu’il faut éviter de me coller de trop près. Question suivante ? »

C'est probablement à ça que ressemblerait une réponse courte, précise et nette pour Seal. Mais bon, à longue on finit un peu par s'y faire, hein.

5. OEUVRE BIOGRAPHIQUE

Ascendance sociale :

Seal était née de l’union du couple Wendell. Jeremiah avait épousé la jeune Elizabeth Harris, un soir d’hiver, à la mairie de Londres. Lui était un britannique de pure souche, issu de l’aristocratie anglaise. Elle était une jeune fille au paire d’origine franco-britannique, dont les parents possédaient eux aussi une somme d’argent plus qu’importante. Au delà de ce que l’on aurait appelé l’amour, il y avait surtout un goût commun pour l’argent, le pouvoir, la notoriété. Ces mêmes intérêts les avaient sans doute poussé à partir très tôt s’installer en Afrique du Sud, là où des hectares de terres appartenaient à Jeremiah. En effet, l’homme était issu d’une famille de colonisateurs qui, depuis des générations, se transmettaient ces terres autrefois propriété des ancêtres africains. Chez les Wendell, l’histoire de la colonisation faisait partie intégrante de la famille. C’était une fierté de savoir que leurs ancêtres avaient pris possession de ces terres. Il n’y avait ni racisme, ni ségrégation, simplement une avidité malsaine qui les rendaient en tout point odieux. Jeremiah et Elizabeth avaient sûrement bien fait de s’épouser, étant donné leur amour commun pour les richesses au dépend d’autrui. La seule chose qui semblait pourtant assombrir ce tableau fut la naissance de Seal. Si le couple désirait engendrer un enfant qui pourrait reprendre les rennes familiales, la fierté de la colonisation, leurs espoirs furent vains. Rien chez la jeune Seal Wendell laissait songer qu’elle appartenait à cette famille. Idéaliste, utopiste, rêveuse, pour elle ces histoires de colonisations étaient symboles de honte pour la famille, car elle ne parvenait à comprendre ce qui pouvait pousser des gens à agir de la sorte envers d’autres êtres humains. Tout au long de l’enfance et de l’adolescence, les conflits régnèrent chez les Wendell. Née dans cette famille, Seal avait l’impression d’avoir perdu la chance d’être aimée, d’avoir des parents. Ces gens étaient des inconnus pour elle, et la seule chose qu’elle n’ignorait pas, c’était cette impression affreuse qu’ils donnaient. Ce fut à dix-huit ans qu’elle emprunta sa propre route, son propre chemin. Officiellement majeure, elle avait quitté l’immense domicile familiale pour s’installer avec sa meilleure amie, Calleigh. Par l’occasion, elle avait été déshéritée, ne pouvant subvenir à ses besoins que par ses économies, cependant bien portantes. C’était là qu’avait réellement commencé à sa vie.

Projets :

Le néant absolu. Seal a toujours vécu au jour le jour, et ses plans d’avenir n’ont jamais dépassé la semaine qui suit. Si vous lui demandiez de songer au futur, elle risquerait d’y passer la journée tellement tout lui semble improbable. Vétérinaire de son état, elle caresse cependant le rêve d’ouvrir de nombreuses réserves équipées dans toute l’Afrique, afin que chaque animal puisse être soigné si besoin est. De plus, son plus grand rêve a toujours été de faire un safari aux quatre coins du continent africain, et si possible en solitaire, pouvant se prouver à elle-même qu’elle est apte à survivre avec son indépendance. D’un niveau privé, la jeune Wendell aimerait un jour fonder une famille. Si certes elle considère grand nombre de ses amis comme sa famille, elle voudrait se marier et devenir mère. Aussi banal et sentimental que cela puisse paraître, Seal ne s’en cache pas. Les joies familiales qui lui ont manqué durant son enfance, elle aimerait réellement les connaître et les faire connaître. Aujourd’hui, malgré ses nombreuses aventures et ses relations chaotiques, elle attend patiemment son âme sœur, l’homme de ses rêves. Calleigh lui répète sans cesse qu’il est sans doute plus près qu’elle ne le pense, et pourtant la blondinette reste sourde à ces remarques. Et alors, vous avez des pronostics ? Voyons ce que le futur réservera.

Anecdotes :

S'il y a bien une chose qui peut pimenter au maximum une vie, ce sont les amis. Des amis, Seal en a, et des vrais. Ils sont sa lumière dans la nuit, une bouffée d'oxygène, des problèmes inimaginables. Et même si certaines personnes représentent pour elle un véritable problème, ils sont souvent bien plus proches que l'on pourrait croire. Et il y a ces moments dont on se souvient, dont on se souviendra longtemps.

SEAL & CALLEIGH : You're not any super hero, you're my Wonderwoman.

- MAY 2007, 22nd. At 21:27.

« Quatre »

« Quelle couleur ? »

« Hum. Vert »

« Seal »

« Bon d’accord, orange. Mais je suis sûre que la verte aurait été plus simple »

« Alors, question de culture générale : qui a découvert l’Amérique ? »

« George Washington ? »

« Nope. Deuxième essaie »

« Mais non, je suis con. C’est … Heu. Christophe le colon ? »

« C’était dur, je t’accorde la réponse »

« Aller, à toi »

« Six, bleu »

« Culture européenne : quel chanteur français a chanté Lettre à France ? »

« Oh. Je le sais ! Je le sais ! Jean-Michel Polnareff ! »

« A un Jean près, je t’accorde le point »

« Lance le dé. Je reviens, j’ai la dalle »

« OUAIS J’AI FAIT UN SEPT ! »

« Ca va pas jusque six un dé normal ? »

« C’est pas un sept, ça ? »

« Ha, merde »

« Argh. En fait c’est un bout de chips »

« Je me disais aussi »

« Bon ça me fait un six aussi alors. Balance la question »

« Par quoi est généralement provoqué l’urticaire »

« Je dirais Landon Menken »

« Mais non, arrête. C’est dû à des allergies »

« Bein ouais, je suis allergique à lui »

« … »

« Bon ça me gave ce jeu d’intellos là »

« Ouais, on va se matter un film. Ca tombe bien, j’ai été louer La marche des zombies-tueurs 2 »

« Y a eu un premier film ? »

« Ouais. Ca s’appelait La marche de l’empereur, je crois »

Vingt-quatre minutes plus tard.

« Tu crois que Lucille va comprendre que Max est un zombie ? »

« Peut-être. Mais après que Mark ait transformé Peter »

« Bein ouais, logique »

« Seal »

« Calleigh ? »

« J’ai peur »

« De quoi ? »

« Des zombies »

« … »

« Je peux dormir avec toi, ce soir ? »

« T’as quand même un sérieux problème »

« Tant pis. Je vais m’exiler dans le jardin »

« Non, non. Ca va »

« JE VAIS CHERCHER MON OREILLER ! »

« … »

Trois heures et six minutes plus tard.

« Seal ? SEAL ? »

« … »

« SEAL ! »

« Humphf»

« Tu dors ? »

« Non je fais des claquettes »

« Ah pardon »

« Qu'est-ce qu'il y a ? »

« Je t'aime, tu sais »

« Je t'aime aussi, Calleigh. Mais maintenant, DORS »

« Bonne nuit »

« ... »

« J'arrive plus à dormir maintenant »

« Moi non plus »

« T'as pas envie de te refaire un Trivial Poursuit ? »

« ... »

SEAL, NOAH & LANDON : Just look for the mistake.

- OCTOBER 2007, 7nd. At 18:54.

« Noah, tu m’emmènes où ? »

« Tu verras »

« Mais c’est où ‘tu verras’ ? »

« On est bientôt arrivé »

« Tu dis ça depuis des heures ! »

« Ca fait six minutes qu’on est parti de chez moi »

« Cherche pas d’excuses »

« … »

« Tu fais quoi là ? »

« Oh, rien du tout »

« Noah Menken »

« J’envoie un message, j’ai fini dans deux secondes »

« Un, deux. T’écris à qui ? »

« Personne »

« Elle Macpherson !? »

« Non, P-E-R-S-O-N-N-E »

« C’est une fille, avoue »

« Quoi ? »

« Tu me trompes et on n’est même pas marié »

« Mais tu dis n’importe quoi »

« T’es gay alors ? »

« Tu sais que c’est toi la femme de ma vie »

« Tu me fais peur là »

« Je … »

« C’est quoi cette horreur ? »

« De quoi ? »

« Cet affreux pull, là. C’est moche »

« Mais … »

« Non, c’est moche »

« Mais c’est un de tes cadeaux de Noël, le plus beau. Enfin, le moins moche »

« Ha »

« Non mais je l’aime beaucoup »

« T’as des goûts de merde mon poussin »

« … »

« Bon, on arrive QUAND ? »

« On y est »

« Dieu soit loué, j’ai froid »

« Viens, c’est par là »

« Waw, c’est super beau ici »

« Bein, on y va chaque semaine »

« Ha ouais. Bon, tu prends quoi ? »

« La serveuse, là-bas »

« Non, pour boire »

« Ha. Un café »

« Ok. Morijto pour moi »

« C’est gentil de m’inviter »

« Heu, je … »

« Ha, le voilà ! »

« Désolé du retard, j’avais un … Qu’est-ce qu’elle fait là ? »

« Noah, pourquoi ton abruti de frère vient de s’asseoir à notre table ? »

« Ecoutez, je … »

« Tu m’avais pas dit qu’il viendrait ! »

« Si j’avais su, je serais pas venu »

« Tu peux toujours partir, personne te retient »

« Bon arrêtez, on est en public »

« Tu crois pas que c’est une descente sociale que de l’avoir à notre table ? »

« Tu peux parler, c’est pas moi qui passe ma journée dans l’utérus d’un gnou ! »

« BON VOUS LA FERMEZ. Je vais commander, je reviens. Landon, tu prends quoi ? »

« Du café »

« Pfiou, chochotte »

« Quoi ? »

« Non, rien »

« Bon, prends moi une vodka »

« J’arrive, j’en ai pour treize secondes. Pitié, je veux pas de sang à mon retour »

« … »

« T’es sûr que t’as pas envie de partir ? »

« Rien que pour voir ton visage déconfit, je vais rester »

« Je pensais pas que tu pouvais être aussi machiavélique pour un crétin »

« Répète ? Tu penses maintenant ? Faudra alerter les médias, ça mérite un prix ! »

« Et ta connerie, ça en mérite pas tu crois ? »

« J’ai tellement peur quand tu t’énerves »

« … »

« MAIS AIE ! »

« Pardon, mon pied a glissé »

« T’es vraiment débile »

« Et toi t’es un sombre crétin »

« Naine »

« Tronche de cake »

« Déficit intellectuel »

« Nul au pieux »

« … »

« HA ! »

« Mais comment tu peux le savoir ? »

« Ca se voit. T’as la tête du frustré au lit par excellence »

« Je suis là. Qu’est-ce qu’il s’est passé ? »

« Rien, je dois y aller »

« Moi aussi ! »

« HE MAIS … Me laissez pas seul, j’ai vos boissons ! … Ho »

J'ai fini. C'est nul. J'assume. Je m'auto-valide. S. WENDELL __ Delayed bomb 575786

Et bien moi j'ai trouvé ça TRES loin d'être nulle, je suis encore morte de rire en écrivant ces mots S. WENDELL __ Delayed bomb 896787

Les anecdotes sont géniales et Seal est assurément un personnage haut en couleur. Ca me fait regretté de ne pas t'avoir encore demandé de lien tiens... scratch

Anyway... c'était une fiche supra cool (et je ne sais pas si je peux poster maintenant que tu es validée alors je ne vais pas en dire trop ah-ah)

Les commentaires sont toujours bienvenue, merci bien S. WENDELL __ Delayed bomb 575786

Le coup de l'urticaire, j'adore S. WENDELL __ Delayed bomb 938502

Seal Wendell a écrit:

« T’es vraiment débile »

« Et toi t’es un sombre crétin »

« Naine »

« Tronche de cake »

« Déficit intellectuel »

« Nul au pieux »

« … »

« HA ! »

« Mais comment tu peux le savoir ? »

« Ca se voit. T’as la tête du frustré au lit par excellence »

Mais là, tu m'as tuée pu*ain S. WENDELL __ Delayed bomb 938502

Non, mais j'imaginais trop bien un truc salace dans la discussion.
Contente que ça te plaise, même si c'est pas glorieux pour Landon.

Landon n'a rien à se reprocher, elle peut dire tout ce qu'elle veut la garce S. WENDELL __ Delayed bomb 575786

Non mais dis tu veux te battre.

C'est pas avec ton mètre douze les bras levés que je vais avoir les genoux qui s'entrechoquent S. WENDELL __ Delayed bomb 21952

Je peux m'attaquer à toi sans passer directement par toi, BWAHAHAH.

*PREPARE SON BRIQUET POUR ALLER INCENDIER LE CHEZ-SOI DE LANDON*

Ca serait rendre service à la société que s'en prendre à mon appart' S. WENDELL __ Delayed bomb 896787

Faut que je trouve un autre truc.

Roh les cas sociaux là dedans S. WENDELL __ Delayed bomb 938502

Le seul que je plains c'est Noah S. WENDELL __ Delayed bomb 896787

Tu seras bientôt à plaindre aussi S. WENDELL __ Delayed bomb 575786

Citation :: « Ouais, on va se matter un film. Ca tombe bien, j’ai été louer La marche des zombies-tueurs 2 »
« Y a eu un premier film ? »
« Ouais. Ca s’appelait La marche de l’empereur, je crois »

Je quote que ça mais toute l'anecdote est trop trop S. WENDELL __ Delayed bomb 938502

Ah putain j'suis en retard. S. WENDELL __ Delayed bomb 311217

Les deus cas sociaux de la ville.

Seal Wendell a écrit:: Tu seras bientôt à plaindre aussi

Malheureusement pour moi oui S. WENDELL __ Delayed bomb 896787

Eliott Barneson a écrit:

Seal Wendell a écrit:: Tu seras bientôt à plaindre aussi

Malheureusement pour moi oui S. WENDELL __ Delayed bomb 896787

Pourquoi ça ? Suspect

J'adore

Mais t'as même pas mentionné Hugo Sad

Landon Menken a écrit:

Eliott Barneson a écrit:

Seal Wendell a écrit:: Tu seras bientôt à plaindre aussi

Malheureusement pour moi oui S. WENDELL __ Delayed bomb 896787

Pourquoi ça ? Suspect

Je suis son collègue S. WENDELL __ Delayed bomb 764281

Eliott Barneson a écrit:

Landon Menken a écrit:

Eliott Barneson a écrit:

Seal Wendell a écrit:: Tu seras bientôt à plaindre aussi

Malheureusement pour moi oui S. WENDELL __ Delayed bomb 896787

Pourquoi ça ? Suspect

Je suis son collègue S. WENDELL __ Delayed bomb 764281

Une collègue qui passe ses journées à le draguer pour se marrer histoire de foutre la merde dans le service, et qui s'incruste chez lui pour jouer aux polypockets avec sa fille S. WENDELL __ Delayed bomb 938502

Pourquoi faut-il que nos deux seules admins soient des cas soc' ? S. WENDELL __ Delayed bomb 938502

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