Harry Kelso

Découvrez James Newton Howard!

1. IDENTITE

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OH UN KELSO. Harry Kelso 896787

Bienvenue et merci pour ces compliments, je te réserve le vava de suite. Harry Kelso 492807

Bienvenue

Bienvenuuuue Harry Kelso 575786

Bienvenue cheers

Oooh Ewan McGregor *o*

Merci ! Je devrais avoir fini ma fiche cet après-midi ! Wink

Welcome

Je m'occupe de faire tes vavas
Harry Kelso 47676

Hugo T. Berckford a écrit:: Je m'occupe de faire tes vavas

Merciiii ! Harry Kelso 458364

Kelso

EWAN

Bienvenue

Da !

Ami, tu veux être mon ami ? Harry Kelso 197897

You !

Avec plaisir ! Harry Kelso 456892

*oublie où elle est* Ewaaaaan !!!!!!!! Harry Kelso 248680

Spoiler:

2. OEUVRE BIOGRAPHIQUE

• Ascendance sociale : La famille Kelso est depuis longtemps implantée en Afrique. Du moins, dans les anciennes régions sous tutelle britannique ou dans les anciens dominions. Comme ce fut le cas avec les parents d’Harry. Archibald Kelso, surnommé ‘Archy’ par ses amis, et Mary étaient tous les deux des enfants du pays, et ils aimaient autant l’un que l’autre leur terre natale. Jeune coupe d’exploitants agricoles, Archibald avait monté une petite exploitation de blé et de tabac près de Salisbury, la capitale de la Rhodésie du Sud. C’est d’ailleurs dans cette ville que naquit le petit Harry, aux premières lueurs d’une matinée de Février. 3 ans après, lors de la création du Zimbabwe, et de l’installation de Robert Mugabe au pouvoir, il y eut quelques débordements et quelques cas de violences envers les populations blanches. Malheureusement, les parents d’Harry en firent les frais, succombant tous les deux sous la violence de ces évènements, leur exploitation pillée, mise à sac et finalement brûlée par les assaillants. Harry eut de la chance, car il était à ce moment chez sa nourrice Khelike, qui était la femme du contremaitre de ses parents. Khelike, attaché à l’enfant des Kelso, le garda et le protégea, le cachant chez elle jusqu’à ce que son oncle, Alan Kelso, apprenne les évènements récents. Contacté par Khelike et son mari, Alan vint chercher son neveu au Zimbabwe, retournant en Afrique du Sud avec Harry dans ses bagages, au plus grand bonheur de sa femme qui ne pouvait avoir d’enfants. Le rhodésien était donc considéré par Alan et Elizabeth comme leur propre fils, et le gatèrent en conséquence. Alan était un important exploitant minier sud-africain et possédait quelques mines de diamants, d’or et de platine aux environs de Johannesbourg, mines provenant de son héritage et du passé colonialiste. La petite famille ne roulait pas sur l’or, mais avait d’importants moyens, et était bien implanté dans la région. Vivant à Durban, les parents décidèrent pour le bien de leur enfant adoptif que celui-ci soit envoyé à Port Elizabeth, pour qu’il suive des études décentes. Il fut ainsi placé en internat dans l’un des meilleurs établissement scolaire du pays.

Depuis qu’il a atteint sa majorité, et qu’il a effectué son service militaire avant de s’engager dans l’armée sud-africaine, Kelso ne roule pas sur l’or … et refuse toute aide provenant de ses parents adoptifs. Lorsqu’il quitta l’armée et qu’il trouva ce boulot de gardien a la réserve naturelle, le salaire n’était pas plus élevé, mais il faisait au moins un métier qui lui plait.

• Anecdotes :

"Je la déteste, ta putain de savane !"

Kelso est assis sur un banc, à l’écart des autres, pendant la récréation entre deux cours. Entre ses mains, un bout de bois, qu’il taille avec un vieux canif usé jusqu’à la moelle. Harry pense à ce week-end. A son escapade hebdomadaire en pleine savane. Bien sûr, il est obligé de faire le mur et de s’exposer aux sévices des matons de l’établissement. Il s’est d’ailleurs fait plusieurs fois avoir, et il devait désormais rivaliser d’audace pour pouvoir sortir. Mais le jeune rhodésien ne pouvait s’en empêcher, c’était comme une drogue pour lui. Un besoin vital.

« Ce week-end, tu m’emmènes avec toi ! Et pas de discussion ! »

Kelso étant dos à tout le monde et perdu dans ses pensées, il n’avait pas fait attention à la petite blondinette qui venait d’arriver. Surpris, sursautant même, il se retourna, reconnaissant la voix. Astrid van der Linde. Une des rares élèves de l’établissement à apprécier le rhodésien. Elle s’était même entichée de lui, pourtant de trois ans son aîné. Ca n’allait pas très loin, juste quelques baisers échangés. A vrai dire, la petite van der Linde amusait celui qu’on affublait du surnom « le cancre ». Elle l’amusait car il ne savait pas pourquoi ils étaient ensemble, surtout au niveau de la différence d’âge. Peut-être recherchait-elle quelque chose ? Mais quoi … la était la question à laquelle Harry était incapable de répondre…. Auparavant, Kelso avait déjà refusé les requêtes de l’adolescente. Mais cette fois-ci, elle avait une telle force et une telle conviction dans son regard qu’il savait pertinemment qu’il ne pourrait y échapper.

« D’accord. Rendez-vous samedi après-midi à 15 heures, au Frederick Café. Prévois de quoi marcher et de quoi passer une nuit à la belle étoile. »

Astrid lui sourit en guise d’approbation, hochant rapidement la tête de bas en haut, comme si elle notait mentalement à chaque critère. Elle lui vola même un baiser, l’embrassant sur la joue, avant de repartir comme elle était venu, laissant Harry retomber dans ses évasions oniriques….

Les deux adolescents se retrouvèrent le jour prévu, à l’heure prévue. Et comme il avait été convenu, Harry emmena Astrid dans l’une de ses promenades. Oh, ils ne s’aventurèrent guère bien loin, mais Kelso s’éloignait d’environ 20 kilomètres à chacune de ses marches, à savoir 4 ou 5 heures de route, en marchant à un rythme normal. Le rhodésien, épris d’aventures et commençant à bien connaître la savane et ses mystères, apprenait quelques astuces à la blondinette, lui donnant le nom de telle ou telle variété de plante, ses effets ou quelle espèce était cette « vache avec des cornes bizarres et une tête pareille ». Aux alentours de 20 heures, les deux adolescents arrivèrent à ce que Kelso estimait comme lieu de bivouac. Ils s’arrêtèrent, Harry commençant à monter la tente, et partit à la recherche de bois, pour leur dîner et pour leur porter chaud. Les nuits africaines étaient réputées pour leur fraîcheur. Leur petite escapade se déroulait à merveille. Le feu faiblissait petit à petit, Harry n’ayant pas ramené assez de provision pour la nuit entière. Il commença à se lever, mais Astrid le prit de court.

« Non, laisse. Cette fois-ci, c’est moi qui y va ! »lui annonça-t-elle de son air triomphant. Kelso acquiesça en silence, se contentant de hocher la tête avec un petit sourire. Il se recoucha sur le dos, observant la voute céleste qui le surplombait. Il fut sorti de sa contemplation quelques minutes plus tard par un cri. Astrid. Harry se leva précipitamment, portant ses mains à sa bouche en porte voix, criant le nom de l’adolescente pour tenter de connaître sa position approximative, afin de se mettre à sa recherche. Déjà, il s’imaginait le pire. Il eut sa réponse entre deux sanglots.
Harry arriva auprès de la jeune adolescente, qui se tenait la jambe en pleurant, les bouts de bois éparpillés autour d’elle. Dans le noir, n’ayant pas fait attention, sa jambe s’était enfoncée dans un terrier et s’était cassée lorsqu’elle buta et fléchit contre un rocher. Kelso s’agenouilla auprès d’elle, lui posant une main sur l’épaule.

« Enlève ta main. Je ne vois rien …. Enlève tes mains, je te dis ! »Entre deux hoquets, la jeune fille s’exécuta, ôtant ses mains. Ce qu’il vit n’était pas pour lui plaire. Il allait se faire tuer. La fracture n’était pas ouverte, mais les symptômes étaient évidents. Kelso passa sa main sur sa jambe, recevant plusieurs coups de poings répétés de la blondinette. « Aïeuh ! Ca fait maal ! »
« Pardon-pardon-pardon ! J’voulais pas … »Ca ne servait à rien de poursuivre, Astrid étant repartie dans des pleurs. La lâchant quelques secondes, il ramassa quelques bouts de bois à ses côtés. « Je reviens dans deux minutes. » Astrid s’agrippa à lui. « Non, pars pas … Steuplaîiiiiit ! »Trop tard, le rhodésien l’ayant déjà quitté. Il devait à tout prix retourner au campement pour chercher son sac, afin d’en tirer un tee-shirt. Il revint aussi vite que possible auprès de la jeune femme, recevant à nouveau une grêle de coups poings. « J’t’avais dit de pas m’laisser ! » Kelso supporta les coups en silence, s’occupant de déchirer son tee-shirt supplémentaire en lambeaux, sous le regard incrédule de la jeune adolescente. Plaçant les différentes branches autour de la jambe d’Astrid, il lui confectionna une attelle de fortune, se servant des lambeaux de son tee-shirt pour resserrer le tout. Elle le sentit passer, transférant sa hargne sur l’épaule de Kelso par de nouveaux coups de poing. « Aiiieuuuh ! J’suis sûre que tu l’as fait exprès ! T’aurais pu faire attention ! »Harry baragouina un petit désolé, alors qu’il lui expliquait qu’il devrait la porter sur son dos, et que cela risquerait de faire mal lorsqu’il la soulèverait. La portant sur son dos, il la ramena d’abord au campement, repliant la tente et éteignant le feu. Une fois prêt à repartir, Harry s’équipa, prenant les deux petits sacs à dos devant lui, et Astrid dans son dos. Elle pesait son poids, mais le rhodésien marchait en n’ayant qu’un seul but dans la tête : la ramener illico presto.

« Je la déteste ta putain de savane ! Tu m’entends ! JE LA DETESTEEEE ! J’la déteste, j’la déteste »

Voilà le genre de remerciements auxquels Harry eut droit durant tout le trajet retour, alors qu’il s’efforçait de ne pas répondre ou de ne pas penser aux invectives de l’adolescente qui connaissait un bon répertoire d’insultes, malgré son âge précoce. Marchant durant un peu plus de 6 heures sans s’arrêter avec son fardeau dans son dos, Kelso ramena la jeune femme à ses parents. Le seul remerciement auquel il eut droit fut d’être roué de coups par le père et d’avoir la porte de la maison claqué à sa gueule….

« ET NE T’APPROCHE PLUS JAMAIS DE MA FILLE, SALOPARD ! »

***

Veille

Le soleil commençait à baisser sur l’horizon, au loin vers l’ouest. Voilà un spectacle qui ne lassait guère Harry, qui le contemplait derrière le volant de sa Land Rover, fumant la dernière cigarette de la journée et buvant une bonne tasse tout juste sortie de son thermos. Il allait devoir veiller cette nuit, tout comme une bonne partie des gardiens de la réserve, étant donné la tournure des derniers évènements. Le matin, lors d’une tournée tout ce qu’il y avait de plus normale, un détail frappa l’attention de l’un des gardiens. Un springbok. Mort. La blessure surprit l’employé, qui appela aussitôt le véto de garde, qui ce jour-là se révélait être Seal Wendell. La gazelle avait été frappé d’une cartouche au niveau du cou, qui avait sectionné la carotide et l’artère. Il était d’ailleurs étonnant que le cadavre n’ai pas encore été mis en pièce, à la merci des charognards. En tout cas, les conclusions à en tirer étaient plutôt claires : braconniers. Selon les anciens de la réserve, cela faisait longtemps que les braconniers avaient renoncé à chasser sur les terres de la réserve, ceux-ci encourant de graves peines judiciaires. Pourtant, ils avaient décidé de remettre ça, et les employés de la Natural Reserve étaient bien résignés à les en empêcher une nouvelles fois.

C’est ainsi qu’une réunion au sommet exceptionnelle eut lieu, décrétant un genre d’état d’urgence sur la réserve, mobilisant la plupart des personnels. Chaque gardien avait reçu une zone à surveiller, et un roulement s’effectuait par demi-journée. Kelso était de garde cette nuit, et il s’était posté à l’ombre d’un baobab, laissant ressortir ses vieux instincts militaires. Il avait d’ailleurs dégoté une bâche de camouflage dont il avait recouvert le capot et les flancs de son véhicule, afin de casser les formes et de tromper la vigilance adverse. Relevant avec un doigt le bord de son chapeau, Kelso savoura les derniers rayons de soleil avant de boire une autre gorgée de café. La nuit et son calme ambiant arrivaient à pas feutrés, petit à petit, les étoiles venant remplacer les nuages dans le ciel, apportant avec eux les bruits de la nuit, si mystiques et mystérieux, toujours autant agréables à entendre.

Les ondes radios étaient calmes, rien n’était à signaler pour cette nuit. Du moins, pour le moment. Aux alentours de 2 heures et demies du matin, un coup de feu vint troubler la quiétude des lieux. Les bruits portaient extrêmement loin dans la nuit et instinctivement, Kelso porta un regard vers son propre fusil, au cas où il serait pris à partie. Ce qui serait la pire des éventualités. Son talkie-walkie commença à s’animer, différents gardiens ayant repéré l’emplacement des braconniers supposés. De son poste d’observation, Kelso ne voyait rien. Pas faute d’essayer pourtant. Il était surtout renseigné par le bruit des moteurs. Visiblement les braconniers avaient été pris en chasse, si l’on croyait les différents échanges radios. Puis ce fut le silence le plus total, comme si l’épisode qui venait de se dérouler n’avait été qu’un rêve….

« Les suspects ont été appréhendés, le dispositif est levé. Tout le monde rentre au camp. »

Un simple message radio et tout était terminé. Kelso n’avait été, cette fois-ci, qu’un maillon de la chaîne, et n’avait en rien participé à l’action qui s’était déroulée quelques minutes auparavant, et qui s’était conclue par l’arrestation des braconniers, surpris dans leur démarche. Malgré tout les côtés positifs du travail de gardien dans une réserve naturelle, il fallait aussi compter sur des points négatifs comme les agissements des braconniers qui mettaient à mal toute une floppée d’efforts intensifs de la part de tous …. C’était ça l’Afrique ….

• Projets : Bien sûr, comme chaque personne, Kelso a des aspirations sociales. Cela fait désormais deux ans qu’il est Gardien dans la Réserve, Harry lorgne de plus en plus vers le poste de Gardien en Chef, actuellement occupé par Samuel Beckford, ne reculant pas devant les responsabilités et devant la charge de travail. Il cherche aussi à se caser au point de vue sentimental et songe de plus en plus à fonder une famille. Mais son côté solitaire et vieil ours mal léché n’aident pas forcément pour accoster de charmantes jeunes femmes….

3. ESQUISSE PSYCHOLOGIQUE

» PORTRAIT & PARTICULARITES

• Qualités : Malgré sa solitude, il reste quelqu’un d’ouvert sur les autres, se préoccupant des personnes dont il s’estime proche, n’hésitant pas à les couver quelques fois. Son passage sous les drapeaux l’a fortement influencé, l’ouvrant plus sur ses concitoyens, lui permettant de devenir un tout petit peu plus sociable, prenant conscience de la notion d’esprit d’équipe et de travail d’équipe, primordiaux dans une institution comme l’armée sud-africaine. Néanmoins, il est souvent rieur, du moins il possède toujours un bon esprit, gardant le sourire dans n’importe quelle situation. Harry aime l’ordre et la rigueur, et parfois ses propos ressemblent plus à des ordres qu’autre chose, vestige de son passé de sous-officier dans l’armée de terre sud-africaine. Kelso est également quelqu’un de très rustique, qui se débrouillera avec peu. Il connaît parfaitement la savane et saura se débrouiller si vous le laissez …. Par contre, pour l’instant, il ne vit que pour son travail, s’y consacrant même lorsqu’il est en repos. Il n’hésite pas à donner un coup de main à ses collègues si ceux-ci en ont besoin. Disons qu’il aime bien mettre la main à la pâte, s’irritant lorsqu’il est inactif…. Loyal, il tient à ses amis (qu’il compte sur les doigts d’une main, rappelons-le), et ne l’abandonnera sous aucun prétexte.

• Défauts : L’ancien militaire est un gros solitaire. Cela se voyait déjà dès son enfance, lors de son exclusion du groupe d’élèves à cause de ses faibles résultats scolaires. Faut dire qu’Harry n’arrangeait pas les choses quand il donnait ses bourres-pifs à tout va dans les cours de récréation pour se faire respecter ou remettre les choses à leur place. Cette solitude se remarquait dans son comportement lorsqu’il était à l’internat. Souvent seul, il faisait le mur le week-end pour se balader dans la savane, le plus loin possible afin de pouvoir dormir à la belle étoile et se ressourcer. Ce qu’il fait qu’il parlait peu aux autres enfants. Même lorsqu’il évoluait au sein de l’équipe de rugby de l’établissement, au poste de trois quarts centre, il ne pouvait s’empêcher de jouer souvent seul, ne pensant pas ou peu à ses camarades et coéquipiers. Ce qui le mit sur le banc de touche bon nombre de fois. Franc et souvent grognon, son tempérament plaît peu à certaines personnes. Surtout lorsqu’il ne se dérange pas pour les remettre à leur place. Même s’il lorgne certains postes, Harry n’est pas pour autant carrieriste et cela se ressent quelques fois.

• Manies :Kelso a quelques petites manies …. La première, et peut-être la plus rageante pour ses proches est qu’il ne peut s’empêcher de ronger ses ongles, ou alors de les couper tout le temps, même s’ils sont déjà très courts. Secundo, et on peut le considérer comme un toc, Harry a toujours quelque chose dans la bouche, que ce soit une cigarette, une allumette qu’il machouille, un brin d’herbe …. Il ne peut s’empêcher de mordiller quelque chose, comme un bâton de réglisse également ….. Le rhodésien a également cette irritante manie de faire crisser sa barbe naissante ou de trois jours, ou bien de se passer une main dans les cheveux, se les recoiffant ou les ébouriffant….

• Indispensables : Il ne part jamais en pleine nature sans tout un tas de petits objets qu’il fourre du mieux qu’il peut dans sa Land Rover. Tout d’abord, le café et une antique cafetière, objets nécessaires à toute tentative de survie selon lui. Grand buveur de café, il doit boire au minimum son litre dans la journée, sous peine d’être de mauvaise humeur. Ensuite, fumeur invétéré, au grand dam de ses poumons, Harry emmène toujours un paquet de sa marque favorite avec lui. Il peut très bien s’en passer et a arrêté sur de nombreuses longues périodes plusieurs fois, mais le rhodésien n’a pas envie et continue malgré tout de fumer. Ensuite, Harry a toujours avec lui, travail oblige, un antique Lee Enfield Mark III modifié afin de pouvoir tirer des seringues hypodermiques ou des cartouches réelles, en cas de danger de mort. Kelso emmène également tout un tas d’utilitaires : des tas de carte de la région sont entassées dans un coin de son véhicule de fonction, ainsi que ses ustensiles de navigation : à savoir une boussole, un sextant et un compas, afin de se situer avec précision. Harry n’est pas très doué avec la technologie moderne, on pourrait même dire qu’il ne sait pas s’en servir. De toute façon, il porte la poisse avec les machines, car dès qu’il en approche une, celle-ci plante et foire…. Enfin, le Rhodésien a toujours avec une trousse de premiers secours bien fournie, contenant des simples bandages aux sérums anti-venins, en passant par un kit complet pour suturer et désinfecter des plaies….

• Credo : « S’élever par l’effort. » En effet, durant toute sa vie, Kelso s’est efforcé de progresser et de franchir chaque obstacle par des efforts souvent inconsidérés. Cela s’est tout d’abord remarqué très tôt dans son enfance. Affecté par la mort de ses parents alors qu’il n’était âgé que de trois ans, lors de violences ethniques durant l’indépendance de la Rhodésie du Sud, en 1980. Placé en foyer durant quelques semaines, il fut ensuite adopté par la famille de son oncle et partit pour l’Afrique du Sud, à Durban. Harry, malgré son âge précoce, eut du mal à s’intégrer, mais y parvint finalement. Ensuite, le petit Kelso rencontra de grosses difficultés sur le plan scolaire, ayant beaucoup de lacunes dans pas mal de matières. Sa légère dyslexie y était également pour quelque chose. Rejeté par ses camarades de classe au rang de cancre, Harry se réfugie dans une solitude protectrice. Il est d’ailleurs peu apprécié par les autres pour les quelques bourres-pifs et gnons qu’il sème auprès des personnes qui viennent le titiller d’un peu trop près. Il obtient son diplôme de fin d’étude de justesse, mais estime que des études universitaires et supérieures sont quelque chose de trop dur pour lui, de plus il se convainc au fond de lui qu’il n’est pas fait pour ça. Comme tous les sud-africains, puisque Kelso a acquis la nationalité, il effectue son service militaire. Il y a toujours des épreuves plus dures les unes que les autres, mais Kelso les franchit l’une après l’autre, se plaisant dans ce qu’il fait. C’est pourquoi il resta d’ailleurs dans l’armée, s’engageant dans l’active, et progressant petit à petit les échelons malgré ses lacunes scolaires.

» SI J'ETAIS ...

• Une couleur : Ocre
• Un parfum : Celui de la terre humide, ou celui du bois….
• Un goût : Amer
• Un accessoire : Une thermos de café
• Une matière : Le teck
• Un roman : Le Petit Prince, de Saint-Exupéry
• Une chanson : String Quartet in C-Sharp Minor (http://www.deezer.com/track/851198 )
• Une personnalité : Corto Maltese
• Un animal :Le Lion
• Un sentiment :L’opiniâtreté

4. OUT OF AFRICA

• Connaissance de la malédiction : Harry en a vaguement entendu parler, sans y prêter plus d’attention que cela. Néanmoins, il a remarqué que dans les rumeurs qui couraient actuellement, le sujet de la malédiction revenait de plus en plus dans les conversations, mais restant toutefois considérée comme tabou.

• Position par rapport à celle-ci : Le Rhodésien est indirectement frappé par la malédiction. En effet, sa famille est depuis longtemps installé dans toute l’Afrique du Sud (Namibie, ancienne Rhodésie, Afrique du Sud en elle-même.) De plus, sa famille adoptive, la famille de son oncle donc, compte parmi ses ancêtres directs l’un des colonisateurs de l’Afrique du Sud, ce qui permit d’ailleurs à la famille Kelso de posséder des terres aussi riches en matières premières, que ce soit des diamants, de l’or ou du platine. Depuis quelques temps, Harry est frappé par de violentes migraines et des rêves, plutôt des cauchemars, particulièrement perturbants….

• Qu'en pensez-vous ? : Harry étant quelqu’un de peu superstitieux, il ne s’intéresse que peu à l’affaire, préférant croire qu’il ne s’agit que de vulgaires migraines et d’une mauvaise passe. Il préfère ne pas en parler et de laisser passer les évènements. Après tout, cette histoire n’est que pure fanstamagorie, et quelque chose d’autre viendra bien la remplacer un jour ou l’autre….

Il me reste les anecdotes à finir qui devraient arriver dans la soirée ! Wink

Désolé pour le doublon, mais j'ai fini ma fiche ! Wink

J'ai trop trop aimé lire ta fiche, je te valide bien évidement. I love you

Merci !

» Ewan McGregor [Kelso]